Dispositif de mesures contenant un nano-oscillateur spintronique placé au centre de l’entrefer d’un électroaimant

Dispositif de mesures contenant un nano-oscillateur spintronique placé au centre de l’entrefer d’un électroaimant. Il est composé d’un nanopilier d’environ 200 nm de diamètre contenant un empilement de deux couches magnétiques ultrafines, séparées par une couche isolante. Le champ magnétique appliqué permet d’ajuster sa réponse radiofréquence. Au-delà de leur très faible taille, ces nano-oscillateurs spintroniques possèdent une forte accordabilité en fréquence. Cette propriété, associée à leur forte non-linéarité, est très intéressante pour le domaine Temps-Fréquence.

Mesure de la réponse en fréquence d’un nano-oscillateur spintronique

Mesure de la réponse en fréquence d’un nano-oscillateur spintronique. Ses propriétés dynamiques, c’est-à-dire sa fréquence et sa largeur de raie (facteur de qualité), sont caractérisées par leur spectre d’émission radiofréquence mesuré sur un analyseur de spectre. Un des objectifs de ces mesures est d’étudier les mécanismes physiques à l’origine du bruit de ces nano-oscillateurs spintroniques, un des paramètres clés en vue de leur utilisation dans le domaine Temps-Fréquence.

Oscillateur optoélectronique générant des signaux hyperfréquences

Oscillateur optoélectronique générant des signaux hyperfréquences. Cet oscillateur est composé d’un laser, d’un modulateur, d’un amplificateur, d’un atténuateur et de bobines de fibres optiques. Les faibles pertes d’oscillations obtenues grâce aux moyens optiques permettent de produire un très bon bruit de phase pour des applications radar (système de détection hyperfréquence). Cette photographie été réalisée au sein de la société Thales TRT, membre du réseau d’excellence FIRST-TF porté par le CNRS.

Connexion de deux fibres optiques sur un oscillateur optoélectronique générant des signaux hyperfréquences

Connexion de deux fibres optiques sur un oscillateur optoélectronique générant des signaux hyperfréquences. Cet oscillateur est composé d’un laser, d’un modulateur, d’un amplificateur, d’un atténuateur et de bobines de fibres optique. Les faibles pertes d’oscillations obtenues grâce aux moyens optiques permettent de produire un très bon bruit de phase pour des applications radar (système de détection hyperfréquence). Cette photographie été réalisée au sein de la société Thales TRT, membre du réseau d’excellence FIRST-TF porté par le CNRS.

Piège magnéto-optique 3D permettant la capture et le refroidissement d’atomes

Piège magnéto-optique 3D permettant la capture et le refroidissement d’atomes. Les bobines de fils génèrent les champs magnétiques capables de piéger les atomes avant qu’ils ne soient transférés sur une puce atomique. La source laser se trouvant dans la chambre basse produit des faisceaux d’atomes pré-refroidis avant d’être poussés vers le piège magnéto-optique 3D. Cette manipulation d’atomes froids réalisée sur un interféromètre atomique sur puce essaye de démontrer des principes physiques pour fabriquer des capteurs, accéléromètres ou gyromètres, plus précis que ceux déjà existant. Cette photographie été réalisée au sein de la société Thales TRT, membre du réseau d’excellence FIRST-TF porté par le CNRS.

Piège magnéto-optique 3D permettant la capture et le refroidissement d’atomes

Piège magnéto-optique 3D permettant la capture et le refroidissement d’atomes. Les bobines de fils génèrent les champs magnétiques capables de piéger les atomes avant qu’ils ne soient transférés sur une puce atomique. La source laser se trouvant dans la chambre basse produit des faisceaux d’atomes pré-refroidis avant d’être poussés vers le piège magnéto-optique 3D. Cette manipulation d’atomes froids réalisée sur un interféromètre atomique sur puce essaye de démontrer des principes physiques pour fabriquer des capteurs, accéléromètres ou gyromètres, plus précis que ceux déjà existant. Cette photographie été réalisée au sein de la société Thales TRT, membre du réseau d’excellence FIRST-TF porté par le CNRS.

Vue d’ensemble d’un interféromètre atomique sur puce

Vue d’ensemble d’un interféromètre atomique sur puce. Le banc optique, à droite, génère la source laser qui créée les faisceaux d’atomes pré-refroidis par le piège magnéto-optique 2D, dans la chambre du bas. Le tube de communication, séparant les deux chambres, permet aux faisceaux d’atomes d’être poussés par le laser pour être capturés et refroidis par le piège magnéto-optique 3D. Les bobines de fils permettent de produire les champs magnétiques capables de piéger les atomes avant qu’ils ne soient transférés sur une puce atomique. Cette manipulation d’atomes froids essaye de démontrer des principes physiques pour fabriquer des capteurs, accéléromètres ou gyromètres, plus précis que ceux déjà existant. Cette photographie été réalisée au sein de la société Thales TRT, membre du réseau d’excellence FIRST-TF porté par le CNRS.