Vérification des dérives des horloges au sein du laboratoire Temps-Fréquence sur le plateau de Calern

Vérification des dérives des horloges au sein du laboratoire Temps-Fréquence sur le plateau de Calern, à l’observatoire de la Côte-d’Azur. Ce laboratoire est équipé de deux masers à hydrogène, deux horloges à césium, deux GPS et d’un système de transfert de temps deux voies (Two-way satellite time and frequency transfer, TWSTFT). Il a pour missions d’établir des références de Temps-Fréquences de qualité, de réaliser des transferts de temps basés sur les liens optique (Méo) et de comparer les différentes techniques de transfert de temps.

Vérification des dérives des horloges au sein du laboratoire Temps-Fréquence sur le plateau de Calern

Vérification des dérives des horloges au sein du laboratoire Temps-Fréquence sur le plateau de Calern, à l’observatoire de la Côte-d’Azur. Ce laboratoire est équipé de deux masers à hydrogène, deux horloges à césium, deux GPS et d’un système de transfert de temps deux voies (Two-way satellite time and frequency transfer, TWSTFT). Il a pour missions d’établir des références de Temps-Fréquences de qualité, de réaliser des transferts de temps basés sur les liens optique (Méo) et de comparer les différentes techniques de transfert de temps.

Profileur de turbulence atmosphérique, ou profileur bord lunaire, observé de nuit sur le plateau de Calern

Profileur de turbulence atmosphérique, ou profileur bord lunaire (PBL), observé de nuit sur le plateau de Calern, à l’observatoire de la Côte d’Azur. Il permet de mesurer les distributions verticales de la turbulence nocturne et diurne au moyen des bords lunaire et solaire. Il fait partie d’un ensemble d’outils servant à mesurer la turbulence atmosphérique, regroupés sous le nom de station CATS (Calern Atmospheric Turbulence Station).

Poste de contrôle du télescope MéO, sur le plateau de Calern

Poste de contrôle du télescope MéO, sur le plateau de Calern, à l’observatoire de la Côte d’Azur. Ce télescope Ritchey-Chrétien d’1,50 m de diamètre est utilisé pour des mesures par télémétrie laser de la distance entre la Terre et des satellites. Il possède deux axes de rotation : vertical (azimut) et horizontal (élévation). Les satellites observés sont équipés de rétro-réflecteurs et la Lune, satellite naturel, en possède cinq, déposés par les missions Apollo et Lunokhod. Ils renvoient au télescope la lumière qu’il a émise et la durée du trajet aller-retour du laser permet de calculer précisément la distance Terre-satellite. La fonction télémétrie du télescope permet aussi de faire du transfert de temps. Il est possible de relier l’échelle de temps au sol et celle du satellite, si les impulsions laser de MéO sont envoyées vers un satellite équipé d’une horloge et d’une instrumentation de datation des impulsions lumineuses.

Poste de contrôle du télescope MéO, sur le plateau de Calern

Poste de contrôle du télescope MéO, sur le plateau de Calern, à l’observatoire de la Côte d’Azur. Ce télescope Ritchey-Chrétien d’1,50 m de diamètre est utilisé pour des mesures par télémétrie laser de la distance entre la Terre et des satellites. Il possède deux axes de rotation : vertical (azimut) et horizontal (élévation). Les satellites observés sont équipés de rétro-réflecteurs et la Lune, satellite naturel, en possède cinq, déposés par les missions Apollo et Lunokhod. Ils renvoient au télescope la lumière qu’il a émise et la durée du trajet aller-retour du laser permet de calculer précisément la distance Terre-satellite. La fonction télémétrie du télescope permet aussi de faire du transfert de temps. Il est possible de relier l’échelle de temps au sol et celle du satellite, si les impulsions laser de MéO sont envoyées vers un satellite équipé d’une horloge et d’une instrumentation de datation des impulsions lumineuses.

Faisceau laser issu du télescope MéO, sur le plateau de Calern

Faisceau laser issu du télescope MéO, sur le plateau de Calern, à l’observatoire de la Côte d’Azur. Ce télescope Ritchey-Chrétien d’1,50 m de diamètre est utilisé pour des mesures par télémétrie laser de la distance entre la Terre et des satellites. Il possède deux axes de rotation : vertical (azimut) et horizontal (élévation). Les satellites observés sont équipés de rétro-réflecteurs et la Lune, satellite naturel, en possède cinq, déposés par les missions Apollo et Lunokhod. Ils renvoient au télescope la lumière qu’il a émise et la durée du trajet aller-retour du laser permet de calculer précisément la distance Terre-satellite. La fonction télémétrie du télescope permet aussi de faire du transfert de temps. Il est possible de relier l’échelle de temps au sol et celle du satellite, si les impulsions laser de MéO sont envoyées vers un satellite équipé d’une horloge et d’une instrumentation de datation des impulsions lumineuses.

Faisceau laser issu du télescope MéO, sur le plateau de Calern

Faisceau laser issu du télescope MéO, sur le plateau de Calern, à l’observatoire de la Côte d’Azur. Ce télescope Ritchey-Chrétien d’1,50 m de diamètre est utilisé pour des mesures par télémétrie laser de la distance entre la Terre et des satellites. Il possède deux axes de rotation : vertical (azimut) et horizontal (élévation). Les satellites observés sont équipés de rétro-réflecteurs et la Lune, satellite naturel, en possède cinq, déposés par les missions Apollo et Lunokhod. Ils renvoient au télescope la lumière qu’il a émise et la durée du trajet aller-retour du laser permet de calculer précisément la distance Terre-satellite. La fonction télémétrie du télescope permet aussi de faire du transfert de temps. Il est possible de relier l’échelle de temps au sol et celle du satellite, si les impulsions laser de MéO sont envoyées vers un satellite équipé d’une horloge et d’une instrumentation de datation des impulsions lumineuses.

Faisceau laser issu du télescope MéO, sur le plateau de Calern

Faisceau laser issu du télescope MéO, sur le plateau de Calern, à l’observatoire de la Côte d’Azur. Ce télescope Ritchey-Chrétien d’1,50 m de diamètre est utilisé pour des mesures par télémétrie laser de la distance entre la Terre et des satellites. Il possède deux axes de rotation : vertical (azimut) et horizontal (élévation). Les satellites observés sont équipés de rétro-réflecteurs et la Lune, satellite naturel, en possède cinq, déposés par les missions Apollo et Lunokhod. Ils renvoient au télescope la lumière qu’il a émise et la durée du trajet aller-retour du laser permet de calculer précisément la distance Terre-satellite. La fonction télémétrie du télescope permet aussi de faire du transfert de temps. Il est possible de relier l’échelle de temps au sol et celle du satellite, si les impulsions laser de MéO sont envoyées vers un satellite équipé d’une horloge et d’une instrumentation de datation des impulsions lumineuses.

Faisceau laser issu du télescope MéO, sur le plateau de Calern

Faisceau laser issu du télescope MéO, sur le plateau de Calern, à l’observatoire de la Côte d’Azur. Ce télescope Ritchey-Chrétien d’1,50 m de diamètre est utilisé pour des mesures par télémétrie laser de la distance entre la Terre et des satellites. Il possède deux axes de rotation : vertical (azimut) et horizontal (élévation). Les satellites observés sont équipés de rétro-réflecteurs et la Lune, satellite naturel, en possède cinq, déposés par les missions Apollo et Lunokhod. Ils renvoient au télescope la lumière qu’il a émise et la durée du trajet aller-retour du laser permet de calculer précisément la distance Terre-satellite. La fonction télémétrie du télescope permet aussi de faire du transfert de temps. Il est possible de relier l’échelle de temps au sol et celle du satellite, si les impulsions laser de MéO sont envoyées vers un satellite équipé d’une horloge et d’une instrumentation de datation des impulsions lumineuses.